Achoura, un jour majeur de l'Histoire
A l'occasion de la commémoration du martyre de l'imam Hussein ibn Ali , nous présentons nos condoléances les plus attristés à tous les musulmans du monde entier et aux opprimés.
L'imam Hussein est le deuxième fils sorti de la sainte union entre le commandeur des croyants Ali Ibn Abi Talib et la dame la plus prestigieuse du monde, Fatima Zahra fille du Prophète Mohammad.
L'imam Hussein est né le 3 Chabane de la 4ème année de l'hégire à Médine. Il fut assassiné le Vendredi 10 muharram en l'an 63 de l’Hégire., à Karbala, au cours de la bataille de l’Âchourâ', après avoir subi la soif et l'oppression pendant plusieurs jours.
L'imam Hussein a vécu six ans à côté de son grand père, le saint Prophète Mohammad. Après la mort de ce dernier, l'imam Hussein resta avec son père, le commandeur des croyants Ali ibn Abi Talib. Après le martyre de son frère aîné l'imam Hassan ibn Ali, sur ordre divin, l'imam Hussein devient imam de la communauté islamique, une communauté qui fut fondée et dirigée pour la première fois par son grand père.
Lorsque Yazid accéda illégalement au califat, il ordonna au gouverneur de Médine d'obtenir le serment d'allégeance de l'imam Hussein. En cas de refus, il devait lui couper la tête et l'envoyer à Damas.
Après avoir été informé par le gouvernement de Médine sur cette demande, l'imam Hussein partit avec sa famille vers la maison de Dieu à la Mecque, où il resta au moins quatre mois.
Cette nouvelle s'était propagée dans toute la communauté islamique, beaucoup des gens qui étaient contre les califats de Moawiya et de son fils Yazid avaient écrit des lettres à l'imam pour lui exprimer leur affection et soutien. Plusieurs personnes étaient prêtes à se soulever contre le gouvernement de Yazid. C'est pourquoi les habitants de la ville de Koufa en Irak, avaient invité l'imam chez eux pour qu'il soit leur chef. La situation était devenue dangereuse pour Yazid.
Avant de quitter la Maison de Dieu, l'imam Hussein avait accomplit le pèlerinage, mais il du écourter les rites de ce dernier, car il avait comprit que les espions de Yazid étaient venus à la Maison de Dieu en pèlerins afin de le tuer pendant les rites de ce devoir sacré.
Quand l'imam, sa famille et ses partisans arrivèrent à Karbala (nom d'un désert près de la ville de Koufa), ils furent encerclés par une armée composée de trente mille hommes, comme disent plusieurs historiens. Ils restèrent affamés et assoiffés durant toute cette période.
Au neuvième jour du mois de Moharram, l'armée ennemie lança un dernier ultimatum à l'imam Hussein, afin de choisir entre : prêter le serment d'allégeance et la mort. L'imam leur répondit que : " Je ne vois en la mort que le bonheur, et en la vie avec les oppresseurs que l'angoisse ". Et leur demanda un délai pour prier son Seigneur. L'imam Hussein passa la nuit du neuf au dixième jour par des prières.
Ses qualités sont innombrables. Il est «La fleur du Prophète» comme l'a dit le Prophète lui-même de lui et de son frère Hassan: «Ils sont mes fleurs dans le monde». En outre, le Prophète déclara: «Hussein est de moi et je suis de Hussein».
Le credo islamique et la religion de son grand-père ont survécu grâce à son attitude courageuse et incomparable. En réalité, il a permis, par cette attitude, au monde entier de survivre jusqu'à la Fin. Il est le Maître des martyrs et le meilleur de tous après son frère.
Les cérémonies marquant la commémoration de la veille de l'Achoura, réunissant la foule des fidèles, ont eu lieu dans le mausolée du défunt fondateur de la République islamique d'Iran, l'Imam Khomeiny.
La foule portant le deuil de l'Imam Hossein organisent aujourd'hui des processions, et participent dans différentes villes d'Iran aux cérémonies du grand deuil de l'Achoura.
L’Imam Hussein fut inhumé à Karbala en Irak où son mausolée se dresse encore de nos jours où de nombreux fidèles continuent à venir se recueillir.
ACHOURA’ : UN MOUVEMENT SACRE
L’Imam al-Hossayn (P) entreprit un soulèvement d’une grandeur et d’une sacralité rares. Son soulèvement possède toutes les caractéristiques d’un mouvement sacré et unique dans l’histoire du monde.
Les caractéristiques d’un mouvement sacré.
• La première condition d’un mouvement sacré est qu’il ne devrait pas poursuivre des buts et des objectifs personnels ou se rapportant à des individus.
Il devrait être universel et concerner l’humanité entière. Il arrive parfois que les individus déclenchent des soulèvements pour des but personnels, mais il arrive parfois que leurs mouvements répondent à des buts sociaux ou humains ou qu’ils ont pour objectifs la recherche de la vérité, l’instauration de la justice, de l’égalité ou du monothéisme.
Les hommes dont les actions et les mouvements ne répondent pas à des motivations personnelles mais au contraire, vont dans le sens du bien de l’humanité, pour l’amour de l’Unicité et de la connaissance de Dieu, sont aimés et honorés des gens.
C’est pourquoi le Prophète (SAW) avait dit : " Al-Hossayn est de moi et je suis d’Al-Hossayn. .
Nous, nous disons également : " Al-Hossayn est de nous et nous sommes d’Al-Hossayn. "
Pourquoi ? Parce que l’Imam Al-Hossayn (P) se souleva, quatorze siècles plus tôt, pour nous et pour le bien de l’humanité tout entière. Son soulèvement fut sacré et a transcendé les buts personnels.
• La seconde condition d’un mouvement sacré est qu’il devrait être inspiré par une vision puissante et pénétrante. Supposons une société où les gens sont ignorants et incapables de comprendre les faits qui les entourent.
Un homme perspicace et à la vision pénétrante surgit et comprend les maux dont ils souffrent et les remèdes qui doivent être appliqués un siècle avant qu’ils ne puissent comprendre eux-mêmes ce dont ils souffrent.
Alors que les autres sont incapables de comprendre et de voir, cet homme perçoit très clairement ce qu’il leur faut.
Il leur proclame, mais les années passent. Vingt, trente, cinquante ans plus tard, les gens se réveillent et comprennent alors le sens de ce que cet homme avait dit à leurs parents et grands-parents.
Pour donner un exemple, Sayyed Jamal ad-Din al-Afghani déclencha un mouvement islamique il y a environ un siècle dans les pays musulmans. Lorsque nous lisons à propos de cet homme, nous réalisons qu’il fut solitaire et isolé.
Il connaissait les maux des Musulmans ainsi que les remèdes qu’il fallait y apporter, mais les gens ne le savaient pas.
Il fut insulté et ridiculisé par la masse qui ne l’approuva pas. Maintenant que les années sont passées, nous réalisons qu’il avait compris certaines choses que les gens de l’époque n’avaient pas vues. Son mouvement fut sacré car il fut déclenché par un homme qui avait vécu à une époque difficile et avait vu la réalité au-delà des apparences.
Le mouvement de l’Imam al-Hossayn (P) est un mouvement de ce type. Aujourd’hui, nous comprenons le caractère de Yazid et les conséquences de son gouvernement. Nous savons ce que fit Mu’âwiya et quels furent les plans des Omeyyades. Mais les Musulmans de cette époque, disons 89% d’entre eux, n’avaient pas compris la nature du pouvoir Omeyyade, étant donné que les techniques d’information de l’époque n’étaient pas aussi développées qu’aujourd’hui.
Les gens de Médine ne pouvaient concevoir qu’une telle situation existe. Ils furent choqués et se demandèrent pourquoi il (P) fut assassiné ?
Ils envoyèrent une délégation en Syrie composée d’éminents personnages et conduite par Abdallâh B. Hanzalah, connu sous le nom de Ghasil al-Mala’ika. Ils firent le voyage de Médine jusqu’à la cour de Yazid, en Syrie et là, ils comprirent la situation.
De retour à Médine, lorsque les autres les questionnèrent à propos de la situation, ils dirent : " Tous ce que nous pouvons dire, c’est qu’aussi longtemps que nous étions à Damas, nous avions craint que les pierres nous pleuvent du ciel sur la tête. " Ils leur racontèrent avoir vu le Calife boire, jouant avec les chiens et les singes et entretenant des relations incestueuses avec les femmes de sa famille.
Abdallâh avait huit fils. Ils proclama aux habitants de la ville : " Que vous vous souleviez ou non, je me soulèverai, même si j’étais seul avec mes fils. " Il exécuta sa promesse et du soulèvement de Harrâ contre Yazid, il perdit ses fils avant de tomber en martyr lui-même.
Abdallâh B. Hanzalah n’était pas conscient de la situation, deux ou trois ans auparavant, lors de la révolte de l’Imam Al-Hossayn (P). Où était-il lorsque l’Imam, se préparant à quitter la Mecque avait dit : " Nous devons dire adieu à l’Islam s’il est affligé d’un dirigeant tel que Yazid. "
Hossayn b. Ali (P) devrait être tué et le monde musulman devait subir un choc afin que les gens comme Abdallâh B. Hanzalah et les centaines d’autres de Médine, de Kufa et d’autres lieux ouvrent leurs yeux et comprennent le sens des paroles de l’Imam Al-Hossayn (P).
• La troisième caractéristique d’un mouvement sacré est sa nature solitaire. Il est comme un ‘Flash’ de lumière dans l’obscurité totale, un ‘Cri’ dans le monde du silence et un ‘Mouvement’ dans la mer étendue immobile. Dans des conditions de répression implacable, lorsque les gens ne peuvent s’exprimer, lorsque l’obscurité est totale et que règnent le désespoir, le silence absolu et l’immobilisme, un homme apparaît soudain et brise le silence magique. Il déclenche un mouvement qui ressemble à une lueur en pleine obscurité. C’est alors que les autres se réveillent et que progressivement, ils se mettent en marche derrière lui.
Pourquoi les Imams infaillibles insistèrent-ils tellement pour que la cérémonie de deuil de l’Imam soit toujours vivante ?
Hussein b. Ali (P) annonça lui-même les raisons de son mouvement : " En réalité, je ne me révolte pas pour commettre des erreurs, ni en tant qu’aventurier, ni pour causer la corruption et la tyrannie. Je me soulève uniquement pour réformer la communauté de mon grand-père. "
En d’autres termes : "Notre société est devenue corrompue et la communauté de mon grand-père est devenue avilie. Je me soulève pour réaliser la réforme car je suis un réformateur. Je veux ordonner le bien et interdire le mal, suivre la voie de mon grand-père et de mon père Ali fils. Abi Taleb. Ne voyez-vous pas que le vrai est rejeté et que l’illicite n’est pas interdit ? Dans une telle situation l’homme de foi ne peut rencontrer son Seigneur… Je ne vois dans la mort qu’une félicité et la vie sous les oppresseurs n’est rien d’autres qu’ ‘une infamie. "
L’Imam al-Hussein (P) a dit : " Je me suis soulevé pour réaliser Al-Amr bil mâ-ruf (ordonner le bien), pour revivifier la foi et pour lutter contre la corruption. Mon mouvement est islamique et vise la réforme. "
L’Imam al-Hussein (P) annonça haut et fort que les causes et les intentions de son mouvement sont dans la ligne des principes généraux de l’Islam.
Il déclara sans aucune équivoque, que l’Islam est une religion qui ne permet à aucun croyant (il a bien dit ‘croyant’ et non pas seulement ‘Imam’) de rester indifférent face à l’oppression, à l’injustice, à la perversité et au péché. L’Imam (P) installa sa pratique sur les fondements idéologiques de l’Islam. L’Islam exposa les principes et l’Imam (P) les mit en pratique
Quel était leur objectif d’ordonner à célébrer le deuil de l’Imam (P) ?
Nous avons déformé cet objectif déclarant que les cérémonies de deuil devaient être accomplies pour soulager et consoler Fatima-Zahra (P). D’autres disent que l’Imam al-Hussein a été tué alors qu’il était innocent. Mais est-ce toute la signification de cet événement ?
Chaque jour, des centaines de personnes innocentes sont tuées par des criminels et c’est une tragédie.
Pourquoi célèbre t on depuis des siècles le deuil de l’Imam al-Hussein (P), qui fut tué en toute innocence ?
Hussein b. Ali (P) est : " En réalité, tu as une situation proche d’Allah qui ne peut être atteinte que par les martyrs. "
Les Imams demandèrent de garder vivant la tradition du deuil de Hussein b. Ali (P) parce que son objectif fut sacré.
Il a fondé une école et ils voulurent que cette école demeure vivante et florissante.
Al-Hossein (P) à travers de brefs témoignages du Prophète (SAW) et de quelques grandes figures du monde musulman :
Le père de Ach’ath Ibn Samih a dit : " J’ai entendu le Messager de Dieu dire : " Mon fils (c’est à dire Al-Hossayn (P) ) sera assassiné sur une terre nommé Karbala : Quiconque l’y verra, qu’il le soutienne "2
On dit aussi : " Il n’y a pas dans le genre humain un seul exemple de courage qui puisse équivaloir au courage de cœur dont a fait preuve l’Imam Al-Hossayn (P) à Karbala.
L’imam al-Husayn (que la paix soit sur lui) Et le Jour d’Achoura
Ya Aba Abdillah
L’Imam Ali (que la paix soit sur lui) a rapporté cette histoire ; un jour, en entrant chez le Messager de Dieu (Prière et paix sur lui), j’ai vu que ses yeux débordaient de larmes. Je lui ai demandé :
-Qu’est-ce qui vous fait pleurer, ô ! Messager de Dieu ?
-L’ange Jibrail vient de me quitter répond-il, il m’a informé que Houssayn serait tué prés de l’Euphrate …
Veut-tu sentir la terre ou il sera tué ?
Il tendit la main, ramassa une poignée de terre et me la donna. Alors, je n’ai pu empêcher mes larmes de couler… » (Rapporté par Ahmed Ibn Hanbal).
L’imam al-Houssayn et le Jour D’achoura
Pour certains, le jour d’Achoura (10 Muharram) est un jour de jeûne et de fête. Pour d’autres, c’est un jour de deuil et de douleur. Pour les premiers, ce jour de fête a pour origine une fête juive qui célèbre la sortie d’Egypte du Prophète Moussa (paix sur lui) et les fils d’Israël, à l’époque préislamique, Quraish jeûnait ce jour. Selon certains hadiths, le Prophète Mohamed (P) aurait perpétué cette tradition. Pourtant, le Prophète ne nous a-t-il pas ordonné de nous distinguer des juifs ?
Les seconds, ceux pour qui c’est un jour de deuil, se rappellent en ce jour, le martyr du petit-fils du Prophète, tué en compagnie de sa sainte famille et de ses compagnons par les soldats du pouvoir en place yazid fils de Muawiyah, le tyran omeyyade.
Cet événement tragique, qui a eu des conséquences importantes pour l’évolution et la construction sociale et politique de la Umma, n’a cessé de peser sur la conscience de cette nation. Mais la dynastie tyrannique et sanguinaire des omeyyades et ses apologistes ont tout fait pour nous rendre amnésiques.
Les rapporteurs et compilateurs de hadiths, à la solde des princes et des rois, ont tout fait pour que l’on oublie, et qui est plus l’on ignore cette tragédie.
A la mémoire, et en l’honneur, de l’Imam Al Houssayn (que la paix soit sur lui), nous sommes heureux de vous présenter cette modeste page qui, nous l’espérons, contribuera à informer les musulmans soucieux de vérité historique et désireux de comprendre les maux qui affectent le monde musulman.
Qui est l’Imam Al Houssayn (as) ?
Al Houssayn (as) est le fils du prince des croyants l’Imam Ali fils d’Abu-Talib et de Fatima Al Zahra, la fille chérie de notre noble Prophète (Paix et prière sur lui et sa famille).
IL naquit à Médine le 25 Sha’aban de l’an 4 Hégirien. C’est le Prophète lui-même qui lui donna son nom. A son sujet le prophète (saw) a dit :
-« Husayn fait partie de moi et je fais partie de Husayn, Dieu aimera celui qui aura aimé Al Husayn »[1]
-« Celui qui aime Al Husayn m'aura aimé, et celui qui le déteste m'aura détesté »[2]
-« Al-Hassan et Al Husayn sont les deux maîtres de la jeunesse du paradis »[3]
Au sujet du verset de la purification (Tat-hir) : « ô vous, les gens de la maison ! Dieu veut seulement éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement ».[4] A Propos de ce verset, le Prophète(saw) a dit qu’il fut révélé au sujet de lui-même, Ali, Fatima, Al Hassan et Al Husayn[5].
Le verset de Mawaddah (affection, amour) : « Dis, je ne vous demande aucun salaire pour cela, si ce n’est votre amour envers les proches », le Prophète (saw), lorsqu’on lui demanda :
-« Qui sont les proches que nous avons obligation d’aimer ? » Répondit : Ali, Fatima et leurs fils.»[6]
Al Husayn (as) est aussi un des Ahlul-bayt (que la paix soit sur eux), au sujet desquels le Prophète (saw) a dit : « Je vous laisse deux charges (al thaqualayn), si vous les suivez, vous ne serez jamais égaré, le Livre d'Allah et les gens de ma maison (Ahlul-bayt). Ils ne se sépareront jamais jusqu’à ce qu’ils me rejoignent prés du Bassin. Faites donc attention à la façon dont vous les traiteriez après moi. »[7]
Qui était Yazid
Yazid est le fils de Muawiyah, fils d’Abou Soufiane, Fils d’Omaya. Omaya était un aristocrate mecquois polythéiste, ennemi acharné du Prophète (saw) et de sa famille. Son fils Abou Soufyan, fut également un farouche ennemi du Prophète et commandait l’armée des polythéistes mecquois contre les musulmans, il se convertit à l’islam, plus par calcul politique que par conviction. Son fils Muawiyah, élevé dans le giron de cette famille hostile au Prophète et à l’islam, se rebella contre l’Imam Ali (as), alors qu’il était calife et lui fit la guerre pour lui prendre le pouvoir.
Après le décès d’Ali (as), Muawiyah continua la guerre contre l’Imam Al Hassan (as) qu’il fit empoisonner, et nomma son fils Yazid comme son successeur, Il instaura ainsi la monarchie.
Le règne de Yazid a duré trois ans. La première année, il fit assassiner Al Husayn et une grande partie de la descendance du Prophète (sa). La deuxième année, il fit attaquer Médine ou ses soldats tuèrent plus de 17.000 personnes et violèrent plus de 1000 femmes, la troisième année, il fit attaquer la Mecque ou ses soldats incendièrent la Kaaba et détruisirent un de ces murs.[8]
L’Imam Al Houssayn (as) a dit à son sujet : « yazid est un libertin qui ne cache pas son libertinage, un ivrogne et un assassin »[9]
Que la paix soit sur lui le jour où il naquit, le jour où il mourra, et le jour où il sera ressuscité vivant !
Notes :
[1] Tirmidhi
[2] Tabari
[3] Tabari
[4] Coran : 33/33
[5] Muslim, Tirmidhi, Ibn-Hanbal, Tabari, Ibn-Kathir et Suyuti.
[6] Muslim, Tirmidhi, Ibn-Hanbal, Tabari, Ibn-Kathir et Suyuti.
[7]Tabari, Tabarani, Ibn Hanbal, Zamakhchari, Al Razi, Ibn Hajar…
[8] Ibn Kathir, Mawdoudi…
[9] Ibn Kathir « istish had al-houssayn »