En présence du sahifa Sad-dja-dia
Le Saint Coran a provoqué une grande évolution culturelle. Ses premiers versets apportèrent la bonne nouvelle d’un grand pas en avant dans le monde scientifique. Sa révélation graduelle débuta par ordonner la lecture, exprimant le bienfait de l’enseignement ainsi que le rôle de l’écriture dans la transmission des connaissances et l’évolution de l’homme.
Le Prophète fiable (amine), grâce à l’inspiration d’Allâh, a beaucoup encouragé les musulmans à rechercher la science, à la diffuser et à l’enregistrer.
Les Imams successeurs du Prophète (pse) virent très tôt le danger provenant de l’interdiction de l’enregistrement des hadiths et la décadence qui allait toucher l’ensemble de la base idéologique de la société musulmane alors qu’elle venait à peine de sortir des ténèbres de l’ignorance. Ils commencèrent donc par enregistrer les hadiths et à encourager leurs disciples dans ce sens, malgré le défi que cela constituait vis à vis des gouvernements des Califes de l’époque. La protection de la charia et sa défense, ainsi que celle des sources de la science et de la sagesse du grand Prophète (pslf) se trouvaient être parmi les objectifs fondamentaux dont les Imams étaient chargés en tant que leaders de la Umma. L’activité culturelle des Imams (pse) englobait différentes sciences, divers domaines de connaissances. Après le Prophète (pslf), Ali, le Commandeur des croyants (pslf) fut l’initiateur de ce grand éveil scientifique de la Umma. Il fut le fondateur de ces sciences, de leurs principes et de leurs règles de base. Un bon nombre des grands savants confirment cette vérité. Sayyed Hassan S,adr, dans son œuvre « L’institution des sciences islamiques par les chiites » prouve cette vérité en détail et le professeur Abba-s Mah,mud al-Aqqa-d, le grand auteur égyptien sunnite dit dans son livre « Le génie de l’Imam Ali » : « l’Imam Ali (psl) a ouvert les portes de trente deux sciences différentes. Il a établit leurs principes et posé leurs bases ». Alla-ma ibn S(ahr A-s(ub dit dans son livre al-Mana-qib/les vertus : « Ali ibn Abi Talib, le Commandeur des croyants fut le premier à écrire, puis vinrent Salman, Abu- Dharr, As*badj ibn Nuba-ta, ‘Ubaydu Allah ibn Abi Ra-fi‘ ».
Quelques années plus tard, as*-S*ahifat us-Sad-dja-dia de l’Imam Ali ibn al-Hussein (psl) est écrit. Ce livre est l’une des œuvres les plus nobles et les plus brillantes sur les plans de l’éloquence pure, de l’éducation, de la morale et de la littérature musulmane.
Caractéristiques de as-Sahifa us-Sad-djadia
1- Ce recueil indique la manière de se séparer totalement du monde matériel, de chercher la protection auprès d’Allâh et de se vouer totalement à Lui. Ce qui constitue ce qu’il y a de plus précieux dans la vie.
2- Il dévoile la haute connaissance de l’Imam à propos de Allâh Le Sublime et sa confiance totale en Lui.
3- Ce très précieux recueil de do‘a-s se distingue des autres recueils de do‘a-s par l’abondance des salutations (s,alawa-t) faites sur Mohammad et les membres de sa Famille élue. Nous savons très bien que la rédaction de ce recueil est intervenue après le massacre sanglant de Karbala- lors duquel les ennemis d’Allâh ont tué sauvagement l’Imam Hussein (psl), sa famille et ses disciples purs et fidèles. Ils ne se limitèrent pas au meurtre physique de l’Imam Hussein et de ses compagnons (pse), mais ils voulaient aussi anéantir totalement la personnalité de l’Imam Hussein ainsi que toute son école. Les salutations adressées exprimaient donc davantage la haute position de l’Imam Hussein (psl) dans la société musulmane.
Suite à un événement aussi important que celui de Karbala-, il fallait que la Umma sache bien l’horrible crime qui venait d’être commis ; le sentiment de péché devait dominer la société afin de faire réfléchir la Umma sur les manière de réparer ses fautes graves et de récupérer autant que possible les valeurs et les principes qu’elle venait de perdre.
4- En même temps, malgré la turpitude, malgré l’infamie des crimes commis, les portes de l’espoir en la grâce d’Allâh ne devaient pas être fermées et la Umma ne devait pas non plus se sentir engagée à jamais dans une impasse sans sortie ni espoir de retour. Cela aurait d’ailleurs profité au régime en place, incarnant désormais un fatalisme utilisé pour couvrir tous les actes perpétués au sein de la société musulmane.
5- Les supplications dont il est question mènent également l’homme croyant et doué d’aptitude jusqu’au degré de l’amour divin, qui est la source de la miséricorde, de la grâce et du pardon. Ainsi, le Sahifat devient la fontaine du véritable « ‘irfa-n / mysticisme» islamique, jaillissant au sein d’un désert brûlant, terrifiant et pollué. On y trouve des invocations merveilleuses et innovantes adressées à Allâh, avec l’emploi de divers raisonnements et styles éloquents, afin d’attirer la grâce d’Allâh et Son pardon :
إلهي و سيدي إن كنت لا تغفر إلا لإوليائك و أهل طاعتك، فإلى من يفزع المذنبون؟! و إن كنت لا تكرم إلا أهل الوفاء بك فبمن يستغيث المسيئون
« ô Allah ! Si Tu ne pardonnes que Tes propres amis et ceux qui T’obéissent, auprès de qui se réfugieront les pécheurs ?! Et si Tu n’honores que Tes fidèles, vers qui se retourneront alors les malfaisants ? ».
Ainsi que sa parole :
.«… اللهمّ فإنّي امرؤٌ حقيرٌ و خطري يسير و ليس عذابي ممّا يزيد في ملكك مثقال ذرّة »
« ô Allah ! Moi, je ne suis qu’un homme humble et inoffensif. Mon châtiment n’ajoute rien à Ta royauté… ».
6- Le Sahifa contient une série de thèmes moraux et mystiques, des pratiques spirituelles importantes pour l’éducation de l’homme et lui indique les principes des vertus et des perfections spirituelles. Tel qu’il est dit dans le Do‘a- Maka-rim ul Akhla-q /les éléments de la noblesse de la morale :
اللهمّ صلّ على محمد و آله و بلغ بإيماني أكمل الإيمان و اجعل يقيني أفضل اليقين
« ô Allâh ! Prie sur Mohammad et sa Famille, fais atteindre à ma foi le niveau de la foi la plus perfectionnée et accorde-moi la meilleure des convictions !
7- Il contient une exclusivité scientifique ignorée à l’époque, et même encore à présent.
8- Le Sahifa est en plus une mine d’éloquence et de bonne expression, ainsi qu’un ruisseau de la littérature islamique poursuivant son propre cours. Sous cet angle le Sahifa ne diffère pas de نهج البلاغة /la voie de l’éloquence.
9- L’Imam Zayn ul-‘A-bédine (psl) fit insérer ses supplications dans un recueil que l’on appela plus tard « الصحيفة الكاملة/recueil complet ». Ses autres do‘a-s sont venus plus tard et sont rassemblés dans un recueil surnommé الصحيفة الجامعة/le recueil exhaustif. Ils servent aujourd’hui de recours complet pour la vie solitaire de l’homme. L’Imam n’a laissé de côté aucun aspect des besoins de la Umma musulmane, lui livrant le trait de sa méthode unique et de son éloquence innovante.
Le rôle historique du Sahifa
Nous avons dit que les musulmans de l’époque de l’Imam Zayn ul-‘A-bédine (psl), en dehors du domaine politique et militaire, furent confrontés à deux dangers majeurs contre lesquels il fallait prendre des mesures radicales :
1- Le premier de ces dangers est né de l’ouverture des musulmans face aux cultures diverses, à des normes législatives et à des situations sociales différentes. Ces confrontations furent causées par le mixage entre les musulmans et les peuples qui se convertissaient en masse à la religion d’Allâh. Le besoin d’un fondement scientifique confirmant l’identité intellectuelle et la personnalité législative particulière des musulmans, en s’aidant du Coran et de la Sunna, se fit alors sentir. Il fallait aussi un mouvement intellectuel et un « savoir-faire religieux » qui permettent d’ouvrir l’horizon intellectuel des musulmans afin qu’ils puissent porter le flambeau du Coran et de la Sunna. Cela devait se faire sous l’égide de l’autorité suprême de la religion à son époque ; le grand dignitaire clairvoyant, entreprenant et diligent qui arrive à en déduire ce qui est utile face à chaque nouvelle situation pouvant surgir à tout moment.
Il fallait ancrer la charia islamia et semer les graines de l’Idjtihad (produire tous les efforts possibles afin de déduire le décret d’Allâh pour chaque question liée à la vie religieuse, politique, économique, sociale… et pouvant concernant la communauté musulmane, qui puisse représenter les principes de la jurisprudence islamique). C’est exactement ce que l’Imam Ali ibn al-Hussein Zayn ul-‘A-bédine a fait en constituant un cycle de cours dans le mausolée du Prophète Mohammad (pslf) à Médine suite à son retour de Karbala-.
2- Quant à l’autre danger, il découlait du mouvement de relâchement qui domina la société musulmane. Car ce genre de mouvement expose la sociétés à l’emprise des délices du monde matériel, à l’excès dans les jouissances de cette vie limitée, mais aussi à la mort de la conscience des valeurs morales, des liens spirituels avec Allâh, de la croyance en l’au-delà et des objectifs lumineux que ces liens peuvent placer devant l’homme. Tout cela s’était déjà produit dans la société de l’époque. Il suffit de lire le livre Al-Ag.a-ni écrit par Abul Faradj al-Is,faha-ni pour réaliser plus clairement cette amère vérité.
L’Imam Ali ibn al-Hussein vit bien ce danger et commença à y remédier. Il adopta la supplication comme fondement du traitement et le Sahifa en fut le fruit grandiose. Ce grand Imam put, grâce aux capacités dont il disposait – une éloquence unique ; superbe pouvoir d’expression, mais aussi une clairvoyance de source divine -, illustrer clairement les relations de l’homme avec son Seigneur, son amour pour le Créateur et sa dépendance envers Lui ainsi que la concrétisation de toutes les valeurs morales, les droits et les devoirs qu’expriment les principes cités plus haut.
L’art de s’adresser à Allâh est fin et délicat, il exige un niveau très élevé de crainte, de politesse et de maîtrise. C’est ce qui manque à l’homme éloigné de l’école des prophètes. Les prophètes ont été envoyés pour initier à cet art, enseigner comment il faut s’adresser à la source de la perfection et comment exposer son besoin à Celui dont tous ont besoin, tandis que Lui n’a besoin de personne. Dans les pages des E'critures passées, on trouve des repères analogues, tels que dans les Psaumes de la Bible, auxquels on a parfois abusivement assimilés le Sahifa. Nous savons que cette assimilation n’est pas du tout exacte pour différentes raisons dont :
- Pour commencer, les psaumes qui nous sont parvenus aujourd’hui contiennent des éléments non attribuables à un prophète quel qu’il soit, et ils ont par ailleurs un aspect tribal limité géographiquement.
- De plus, les psaumes ne nous sont pas parvenus dans leur langue originale, ce qui a causé la perte de la majeure partie des finesses de ce texte. Ce n’est pas le cas du Sahifa, provenant de l’un fils de l’école du Saint Coran, et n’utilisant en outre que les formes et les styles de la supplication.
Les formes et les styles adoptés, mis à part le fait qu’ils constituent la meilleure réponse, permanente, à l’un des besoins les plus essentiels de l’homme (la supplication), jouaient un autre rôle important : après l’évènement de ‘A-choura-, les survivants de cet horrible massacre découvrirent le vrai visage des autorités qui se proclamaient les califes successeurs du Prophète Mohammad (pslf). La responsabilité suprême et la direction des affaires reposaient normalement sur les épaules de l’Imam de l’époque : Ali ibn al Hussein (psl). C’est lui qui était habilité à ces tâches. Yazid se proclama être le calife du Prophète Mohammad (pslf) et son successeur. Walid ibn ‘Abdul Malik surveillait très attentivement toutes les activités de l’Imam. Dans un environnement particulièrement hostile, où tout était sujet à surveillance, la transmission de quelques supplications ne pouvait pas engendrer les soupçons des agents des autorités au pouvoir. De cette façon, la protection des trésors de science et de sagesse était assurée.
Ainsi, l’Imam Ali ibn al-Hussein put, grâce aux aptitudes et aux capacités qui lui avaient été données, créer dans la société musulmane une atmosphère spirituelle qui contribuait à renforcer l’homme musulman contre les tentations fortes de la vie terrestre et matérielle et ainsi mieux le rattacher à son Seigneur. Mais aussi, cela raffermissait les valeurs spirituelles du fidèle musulman afin qu’il demeure aussi constant lors de l’aisance et de l’abondance nouvelles qu’il l’avait été à l’époque de misère et de carence du début de l’appel à l’Islam.
Authenticité du Sahifa
La chaîne des rapporteurs (sanad) du Sah$ifa remonte jusqu’à l’Imam Abu- Dja‘far Mohammad Ba-qir (psl) et son frère martyre Zayd ibn Ali ibn al-Hussein (psl). Les noms des rapporteurs sont cités dans l’introduction du Sah$ifa et cette chaîne jouit d’un grand nombre de rapporteurs.
Sayyed Muhsin Amine al-‘A-méli dit : « L’éloquence du Sah$ifa, sa douceur oratoire inimitable, la hauteur de ses notions et tout ce qu’il contient comme diverses sortes de révérences vis à vis d’Allâh le Sublime, les louanges, les façons innovantes de demander pardon à Allâh, sa noblesse dans le recours à Allâh, sont les raisons les plus convaincantes qui nous font attribuer le Sahifa à l’Imam Sad-dja-d (psl) et nous assurent de ce que cette perle provient bien de cette mer, que cette pierre précieuse provient de cette mine et que ce fruit provient de cet arbre. Tout cela mis à part, (la confirmation vient de) sa réputation qui ne souffre aucune sorte de doute, ainsi que la multitude des chaînes de rapporteurs connectées jusqu’à son auteur (paix sur lui et sur ses purs ascendants), car c’est un enchaînement d’hommes fiables qui remonte jusqu’à Zayn ul-‘A-bédine (psl). Une version de ce recueil se trouvait auprès de Zayd et fut transmise plus tard à ses descendants et aux descendants de Abdallâh ibn Hassan al Muthanna-, tel que cela est cité au début du Sah$ifa, séparément de la version qui se trouvait auprès de l’Imam Bâqir (psl). Le Sahifa était l’objet de l’attention des gens et par surcroît de celle des ulémas. Ils prêtèrent tous attention à la transmission et à l’enregistrement de toutes ses versions tout en demandant le secours d’Allâh la nuit et le jour, le matin et le soir.
Exégèses du Sahifa
Les Ulémas se sont adonnés à l’étude du Sahifa, à son exégèse et à son interprétation. Un bon nombre de livres précieux ont été écrits à cet égard et le grand chercheur, le cheikh A-qa- Buzurgue Téhéra-ni les évoque dans son encyclopédie célèbre « az-Zari‘a ila- Tas,a-nif as(-S(i‘a » dans laquelle il cite quatre-vingt six exégèses du Sahifa.
Le Sahifa exhaustif
La version la plus complète du Sahifa a été éditée par la Société de l’Imam Mahdi à Qom. Elle contient 75 supplications classées selon l’ordre authentique. E'tant donné que les supplications du Sahifa font partie de hadiths ayant des chaînes conjointes متواتر, grâce à la dépendance de leur transmission, de l’autorisation donnée par le rapporteur de chaque époque et de chaque niveau عصر و طبقه au rapporteur suivant, les documents de chaque hadith ont été rassemblés, dans la mesure du possible, avec ses multiples autorisations. Ainsi l’arbre des rapporteurs a été établi à l’instar d’un arbre généalogique, accompagnée de la biographie de la plupart des rapporteurs. Ont été ajoutées à cela des tables et des listes techniques nécessaires, grâce auxquelles ce Sahifa acquit davantage de beauté et de perfection.
Afin de mieux cerner ce que nous venons de dire : « le Sahifa est un recueil complet répondant aux besoins du serviteur d’Allah », il y a lieu de porter un regard sur les lignes de ses larges thèmes.
Thèmes généraux du Sahifa
1. Ses do‘âs de louange, d’unicité et de glorification d’Allâh : 8 do‘âs.
2. Ses do‘âs de prière : 14 do‘âs.
3. Ses do‘âs pour lui-même et pour les siens.
4. Ses do‘âs du matin et du soir : 8 do‘âs.
5. Ses do‘âs lors des affaires importantes, en cas d’angoisses et pour demander refuge auprès d’Allâh : 9 do‘âs.
6. Ses do‘âs d’aveux et de demandes de pardon à Allâh. 9 do‘âs.
7. Ses do‘âs de demandes à propos des besoins et leur exaucement.
8. Ses do‘âs contre les agressions : 2 do‘âs.
9. Ses do‘âs contre les maladies et les catastrophes.
10. Ses do‘âs pour demander à Allâh de l’aider à se relever.
11. Ses do‘âs pour demander refuge contre Satan.
12. Ses do‘âs pour se prémunir : 2 do‘âs.
13. Ses do‘âs pour demander la pluie : 2 do‘âs.
14. Ses do‘âs à propos des noblesses de la morale : 2 do‘âs.
15. Ses do‘âs contre les chagrins et les calamités : 4 do‘âs.
16. Ses do‘âs pour la paix : 2 do‘âs.
17. Ses do‘âs pour ceux sur lesquels il faut prier : il s’agit des parents, des enfants, des voisins, des compagnons, des gardiens des frontières et d’un certain nombre de gens.
18. Ses do‘âs contre un certain nombre de gens.
19. Ses do‘âs d’appel au secours d’Allâh.
20. Ses do‘âs pour la subsistance et pour le remboursement des dettes : 4 do‘âs.
21. Ses do‘âs pour le retour vers Allâh : 2 do‘âs.
22. Ses do‘âs pour le réveil et la dévotion nocturne : 15 do‘âs.
23. Ses do‘âs pour supplier à propos du bien.
24. Ses do‘âs lors des épreuves.
25. Ses do‘âs pour exprimer la satisfaction.
26. Ses do‘âs lorsque l’on voit les signes d’Allâh.
27. Ses do‘âs lors de la vision du hilal.
28. Ses do‘âs de remerciements à Allâh : 2 do‘âs.
29. Ses do‘âs de demandes de pardon pour les conséquences des actes : 2 do‘âs.
30. Ses do‘âs pour demander la grâce d’Allâh et se rappeler la mort : 7 do‘âs.
31. Ses do‘âs de demande de protection.
32. Ses do‘âs lorsque l’on finit la lecture de tout le Coran.
33. Ses do‘âs pour les trois mois : 34 do‘âs.
34. Ses do‘âs dans les jours bénis : 8 do‘âs.
35. Ses do‘âs à propos des prescriptions religieuses.
36. Ses do‘âs pour se défendre des ennemis : 10 do‘âs
37. Ses do‘âs pour l’occultation et la crainte d’Allâh : 2 do‘âs
38. Ses do‘âs exprimant l’humilité et l’imploration envers Allâh : 8 do‘âs
39. Ses do‘âs pour dissiper les soucis, éloigner les malheurs et les circonspections : 11 do‘âs.
40. Ses do‘âs lors des confidence à Allâh : 39 do‘âs.
41. Ses do‘âs pour l’exaucement et pour l’humilité face à Allâh : 3 do‘âs.
42. Ses do‘âs durant les prosternations : 10 do‘âs.
43. Ses do‘âs quotidiens : 36 do‘âs.
44. Ses do‘âs lors des pèlerinages : 2 do‘âs.
45. Ses do‘âs pour les requêtes d’ici-bas et de l’au-delà : 3 do‘âs.
46. Ses do‘âs lors des repas : 3 do‘âs.
47. Ses do‘âs au début et à la fin des prêches : 2 do‘âs.
48. Ses do‘âs avant de sortir de la maison ou d’aller au lit.
49. Ses do‘âs lors du jugement de Mohammad al Hanafia à coté de la Pierre Noire à la Ka‘ba.
50. Son do‘â qui contient le nom le plus sublime d’Allah.